Avec lui, tous les codes de la bienséance sont piétinés ; tous les gestes les plus grossiers sont figés comme constitutifs du naturel primate de l’homme (on pense à Gai-Luron qui enfonce « joyeusement » son doigt dans le nez) ; tout ce qui semble aller de soi exagéré comme un vice : le sexe, le sport... Résolument « anti-cons » Marcel Gotlib n’est cependant pas un misanthrope. Son cynisme se veut d’abord une école du rire, d’un rire de soi-même d’abord et d’un rire subversif toujours.
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